Le bonhomme provençal – affaire tendue
Après le dernier post sur le refoulement, sur le déchet le moment est venu de parler des artistes !
A quoi sert l’artiste dans la société, si on écoute les meilleurs contemporains on en déduit que l’art est à la portée du commun, mais comme celui-ci est un inculte (culte de l’art) il n’arrive à pas à se saisir de sa propre beauté.
Ok, il est con le commun.
Néanmoins un trait de génie m’a percuté ce matin, en fait le rôle de l’artiste est de saisir l’esprit collectif du moment, dans son périmètre d’expression de métier (peinture, écriture etc.).
Comme une décharge venant du cosmos, du collectif, l’artiste saisit l’instant et le présente, le représente à ceux qui ne le sont pas.
Bref, l’artiste doit il se droguer et s’user la santé, à travers l’exacerbation de l’émotion ?
La production de « bonnes vibes » induit il le sacrifice de l’artiste, comme être cardiaque ?
A priori on le voit la société de consommation n’aime pas des œuvres qui demandent plusieurs couches d’explication.
L’architecture ancienne voilée ses intentions alors que la nouvelle affiche dans sa structure sa volonté, publicitaire.
Or le bonhomme connait une autre voix, qui est le Naturalisme, voir la naturophilie, nudiste ou stringisme, il sait que vaquer, sur les chemins romantiques est une source qui ne s’épuise et n’épuise jamais !
Donc le provençal n’est pas nécessairement Alter-ophile, non pas que la fonte ou le plomb lui soit inconnu, mais côtoyer l’alter n’est pas sa vocation.
Maintenant question, l’intermittent doit il être rémunéré au-delà de sa valeur utile ? Qui existe néanmoins au dixième.
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